Je souhaite garder une trace et partager des articles, des idées qui m'intéressent. Cela va de la philo à la spiritualité en passant par le socio-politico-économique, l'environnement, le bien-être, la santé ... avec parfois une pointe d'ésotérisme.
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jeudi 30 janvier 2014
mercredi 29 janvier 2014
samedi 18 janvier 2014
Un secret de beauté? Le miel!
Un secret de beauté? Le miel!
16 janvier 2014Les avantages du miel
Le miel est utilisé dans beaucoup de produits de beauté, ce qui n'est pas suprenant quand on sait que:* C'est un ingrédient anti-âge,
* Hydratant,
* Il a un effet antibactérien sur les boutons.
* En Amérique du Sud, le miel est utilisé pour garder l'haleine fraîche tout au long de la journée. Mélangez du miel et une cuillerée de canelle dans de l'eau chaude et faites des gargarismes une fois la mixture refroidie.
* Refroidissements et grippes peuvent guérir plus rapidement si on avale une cuillère de miel tous les jours.
* Le miel renforce le système immunitaire: grâce à lui vous serez moins vite fatiguée et courrez moins de risque d'attraper une infection.
* Il a un effet positif sur la digestion: le miel a une fonction légèrement laxative et diminue ballonnements et flatulences.
* Le miel est une bonne source d'énergie: une petite cuillère de miel procure un coup de boost immédiat.
Comment l'utiliser?
Sur les boutons: enduisez-les d'un peu de miel le soir. Nettoyez au réveil, et vos boutons disparaîtront petit à petit.En masque hydratant et purifiant: massez la quantité d'une cuillère à café de miel sur votre peau, laissez agir pendant un quart d'heure et rincez avec de l'eau tiède.
Comme nettoyant: humidifiez votre peau, trempez vos doigts dans du miel et massez votre visage. Rincez bien. Attention: le miel nettoie mais ne démaquille pas! Au besoin, utilisez d'abord un démaquillant. Dès la première utilisation, vous allez sentir que votre peau est plus douce, plus hydratée. Après plusieurs jours, vous remarquerez une diminution des boutons.
Dans le bain: versez deux tasses de lait et une demi-tasse de miel dans votre bain. Peau super douce garantie!
Comme gommage: mélangez une demi-tasse de sucre avec une demi-tasse de miel. Massez votre corps avec cette mixture (valable aussi pour le visage mais allez-y doucement) et rincez.
Quel miel choisir?
Utilisez simplement un miel liquide du supermarché ou d'un magasin bio.jeudi 9 janvier 2014
Tisane, thé, infusion : quelles différences ?
Tisane, thé, infusion, décoction… Difficile de faire le tri
entre ces différentes appellations. À quoi correspondent-elles vraiment ?
http://www.informaction.info/09012014-1055-Tisane-th%C3%A9-infusion-quelles-diff%C3%A9rences-positivons-sant%C3%A9
http://www.informaction.info/09012014-1055-Tisane-th%C3%A9-infusion-quelles-diff%C3%A9rences-positivons-sant%C3%A9
mardi 7 janvier 2014
lundi 6 janvier 2014
Le corps médical désertera la Bulgarie
4 Chasa - Bulgarie | samedi, 4. janvier 2014
Suite à l'ouverture complète du marché du travail européen aux Bulgares et aux Roumains, la Bulgarie aura du mal à retenir ses médecins et ses infirmières, redoute le quotidien 24 Chasa : "En Angleterre, en France et en Allemagne, le salaire des médecins est jusqu'à 20 fois supérieur. En d'autres termes, ils y gagnent en deux ans autant qu'en 40 ans au pays. Dans ce contexte, les médecins et les infirmières qui ne songent pas à s'expatrier se comptent sur les doigts de la main. La conséquence pour les Bulgares, c'est que les coûts de santé devraient se rapprocher du niveau de l'Ouest, ce qui aboutira à une hausse de la franchise et des cotisations aux caisses de maladie. Autrement dit, à l'avenir, si un Bulgare souhaite bénéficier de soins dans sa propre langue, il devra se rendre en Angleterre. Encore faut-il en avoir les moyens. L'inévitable hausse des salaires des médecins bulgares s'annonce comme l'une des premières conséquences tangibles de la libre circulation des travailleurs."
Suite à l'ouverture complète du marché du travail européen aux Bulgares et aux Roumains, la Bulgarie aura du mal à retenir ses médecins et ses infirmières, redoute le quotidien 24 Chasa : "En Angleterre, en France et en Allemagne, le salaire des médecins est jusqu'à 20 fois supérieur. En d'autres termes, ils y gagnent en deux ans autant qu'en 40 ans au pays. Dans ce contexte, les médecins et les infirmières qui ne songent pas à s'expatrier se comptent sur les doigts de la main. La conséquence pour les Bulgares, c'est que les coûts de santé devraient se rapprocher du niveau de l'Ouest, ce qui aboutira à une hausse de la franchise et des cotisations aux caisses de maladie. Autrement dit, à l'avenir, si un Bulgare souhaite bénéficier de soins dans sa propre langue, il devra se rendre en Angleterre. Encore faut-il en avoir les moyens. L'inévitable hausse des salaires des médecins bulgares s'annonce comme l'une des premières conséquences tangibles de la libre circulation des travailleurs."
Les islamistes profitent du conflit syrien
La Repubblica - Italie | lundi, 6. janvier 2014
Le conflit syrien engendre un renforcement de l'islam radical au Proche-Orient, analyse le quotidien de centre-gauche La Repubblica : "La Syrie et l'Irak sont les théâtres principaux de la nouvelle offensive de l'islamisme sunnite. Celle-ci vise l'autre grande partie de la population musulmane, la minorité chiite. … La popularité [d'Al-Qaida] n'a pas faibli au sein de la population sunnite, au contraire, elle a même augmenté avec le conflit syrien. L'islam radical bénéficie en effet d'un nouveau soutien financier et militaire venant d'Arabie Saoudite et des monarchies du Golfe. Celles-ci ont l'intention de s'opposer à l'indifférence de l'Ouest vis-à-vis de la rébellion syrienne, en finançant ceux qu'elles considéraient, hier encore, comme leurs pires ennemis."
Le conflit syrien engendre un renforcement de l'islam radical au Proche-Orient, analyse le quotidien de centre-gauche La Repubblica : "La Syrie et l'Irak sont les théâtres principaux de la nouvelle offensive de l'islamisme sunnite. Celle-ci vise l'autre grande partie de la population musulmane, la minorité chiite. … La popularité [d'Al-Qaida] n'a pas faibli au sein de la population sunnite, au contraire, elle a même augmenté avec le conflit syrien. L'islam radical bénéficie en effet d'un nouveau soutien financier et militaire venant d'Arabie Saoudite et des monarchies du Golfe. Celles-ci ont l'intention de s'opposer à l'indifférence de l'Ouest vis-à-vis de la rébellion syrienne, en finançant ceux qu'elles considéraient, hier encore, comme leurs pires ennemis."
dimanche 5 janvier 2014
Concerne : 5 ans de crise, 5 indicateurs : on sous-estime l'ampleur de la crise 2008-2013 ! Ph. DEFEYT
Concerne : 5 ans de crise, 5 indicateurs : on sous-estime l'ampleur de la crise 2008-2013 !
Les économies européennes seraient en train d'émerger de la crise née en septembre 2008.
Il est trop tôt pour mesurer l'ampleur et les conséquences de la reprise qui semble se dessiner sur base d'une série d'indicateurs et moins encore pour deviner la durée de celle-ci.
Mais le moment est bien choisi pour mesurer, avec maintenant un recul de 5 ans, quelques évolutions socioéconomiques observées pendant la période 2008-2013.
La dernière étude de l'Institut pour un Développement Durable a retenu pour ce faire 5 indicateurs ou groupes d'indicateurs :
Le pouvoir d'achat par tête.
L'évolution de l'emploi salarié hors titres-services.
Le nombre de Demandeurs d'Emploi Inoccupés.
Le nombre de bénéficiaires du Droit à l'Intégration Sociale.
L'activité dans la construction (logements neufs).
Plus de détails et les graphiques se trouvent dans la note jointe.
Voici néanmoins l'essentiel des observations :
Le pouvoir d'achat par habitant est, en 2013, “revenu” au niveau de 2000 ! La “crise” a raboté le pouvoir d'achat par tête d'environ 5% depuis 2009, année où a été enregistré son niveau maximum.
En matière d'emploi deux constats essentiels :
l'emploi salarié total – hors titres-services – est, en 2013, “revenu” à son niveau de 2008
l'emploi privé et l'emploi public sont en légère baisse par rapport à 2011.
Pour ce qui est des évolutions des années à venir on peut penser que seul l'emploi salarié privé pourrait croître si reprise il y a mais sans plus pouvoir compter (beaucoup en tout cas) sur le secteur des titres-services et dans des proportions insuffisantes pour voir diminuer (significativement) le nombre de demandeurs d'emploi inoccupés.
Après avoir atteint un creux en 2008, le nombre de demandeurs d'emploi inoccupés (DEI) est reparti à la hausse pour dépasser les 580.000 en moyenne annuelle en 2013 sans cependant atteindre le maximum observé en 2005 (pratiquement 600.000 DEI).
On observe la même allure générale de la courbe des jeunes demandeurs d'emploi inoccupés. Le nombre de 118.000 jeunes DEI en 2013 est en-deçà, et c'est tant mieux, du maximum atteint en 2004 : 137.000. Mais le recul du nombre d'emplois occupés par des moins de 25 ans fait passer le taux de chômage des jeunes de 22% en 2008 à 27% en 2013.
La surprise vient de l'évolution du nombre de DEI de 50 ans et plus, qui a augmenté de 25.000 depuis 2008 et de 101.000 (!) depuis 2000. Il y a depuis 2009 plus de DEI de 50 ans et plus que des DEI de moins de 25 ans.
Sauf croissance très soutenue, il faudra de très nombreuses années pour redescendre au niveau du nombre de DEI observé en 2008.
Bon an, mal an, le nombre moyen de personnes bénificiant du Droit à l'Intégration Sociale (DIS) a tendance à augmenter. En 2013 ce nombre était de 108.300. Rappelons que les jeunes représentent environ 30% du nombre total de bénéficiaires du DIS, soit environ 32.000 jeunes en 2013.
On sait qu'il y a une crise du logement et qu'une des manières de la résoudre c'est de construire des logements nouveaux. De ce point de vue la période de crise n'a pas été très favorable. Au total le nombre moyen de permis de construire accordés de 2009 à 2013 (environ 47.000) est de 6% inférieur au nombre moyen observé avant la crise (environ 50.000) et nettement moindre que les demandes observées au mileu de la décennie passée.
Bref, il y a des "retards" à "rattraper". La reprise de l'activité économique sans politiques volontaristes n'y suffira pas.
Extraits du livre "L'eau-delà de l'eau "(Jacques Collin) - Ch.1 L'Humanité en hiver.
Ce chapitre est un inventaire de l'impitoyable civilisation
que nous avons bâtie à travers les siècles.
Celle-ci ne s'est construite que par l'addition d'infinités d'erreurs
s'accumulant dans notre histoire et provoquant cette dérive de notre
trajectoire cosmique qui nous met dans
un état d'impuissance.
Et pourtant, au fond de chacun, demeure cette immuable et
inaltérable dimension intemporelle de notre être.
Alors pourquoi ne pouvons-nous plus la vivre ici et
maintenant et à tout jamais ?
A notre naissance, l'enfant et le bébé que nous étions
vivaient dans un monde non local. Il n'y
avait pas de séparation. Notre sommeil
de 18 à 20h par jour nous permettait de rejoindre l'unité où le "je"
(l'égo) ne se formule pas encore.
(Ne dit-on pas pour un bébé qui sourit en dormant : "il
rit aux anges" ... ou n'avez-vous jamais remarqué qu'un jeune enfant peut
soudain "être figé" en regardant un point fixement ... qu'il est le
seul à voir). Mais ce bébé et ce jeune enfant ne connaît pas encore
"l'égo, le JE".
Chacun de nous naît, vit et meurt. Dans cet intervalle de temps nous évoluons
enfermés dans les murs de pierre de la matière de l'espace et du temps,
ballotés par les événements d'un destin souvent incompréhensible, essayant par
de puissants efforts à fabriquer notre bien-être et notre bonheur. Nous les expérimentons sur toutes les gammes
de nos cinq sens et de nos pensées.
Toutes nos émotions, nos sentiments, notre volonté de
bonheur, sont construits, dans leur presque totalité, à partir de cette
imagerie matérielle du monde.
Aussi bien le beau, le laid, le bon, le mauvais, la peur, la
sérénité, toutes ces sensations sont secondées par le sens de la vue, du
toucher, du goût et de l'ouie. Tout le
décryptage de ces images va concourir à renforcer l'usage égotique de notre
cerveau humain.
C'est une loi biologique.
Il faut repousser le plus loin possible notre inéluctable destruction
physique aussi longtemps que nous pouvons vivre heureux et cela dans le plus
grand bien-être.
Il y a déjà deux fantômes qui rôdent : la mort et le
bonheur. Ils vont être les compagnons
inscrits dans tout être vivant.
Apparemment contradictoires, ils sont complémentaires et intimement
liés. La peur de la mort féconde la
plupart de nos bonheurs. Si nous
n'étions jamais heureux ou sans espoir de l'être, la mort ne serait plus une
peur mais une délivrance. D'ailleurs, la
désespérance conduit à la mort par le suicide.
Le bonheur et le bien-être n'existent que par rapport à une
peur, à un mal-être et à l'angoisse de la mort.
Pourtant, nous essayons, comme des forcenés, de savoir qui
fait fonctionner la machine et surtout comment elle fonctionne.
Par cette quête de la connaissance, nous essayons d'ancrer
nos croyances sur des certitudes, qui nous renvoient à des interrogations
perpétuelles ...
De plus, nous avons conçu, d'une part, des systèmes, des
institutions, des structures sociales dont le bonheur ne dépend strictement que
de l'avoir et du savoir et des avantages que
nous en tirons.
D'autre part des religions nous promettent d'hypothétiques
bonheurs métaphysiques, arrachés à cette vallée de larmes terrestres, coups de souffrances, de renoncements, de
morales, d'interdits, de dogmes, de culpabilisations où le goût du bonheur et
du plaisir devient suspect.
Mais il y a encore plus insidieux dans la recherche des
vérités et du savoir. Nous analysons, disséquons, réduisons, coupons les idées,
les sentiments pour observer jusqu'à son point minimum observable. Et nous ne percevons plus la dynamique
globale des événements et des systèmes.
Nous fracturons tout et nous nous sommes fracturés.
Nous sommes comme une fourmi dans une cathédrale, comme
celui, qui le nez collé contre un mur, ne verrait que la pierre devant lui mais
ne verrait ni la pierre au-dessus ni celle en-dessous ... ni la cathédrale.
La science cherche à nous expliquer le fonctionnement du
cerveau. Les neurologues y cherchent le siège de la mémoire, de la peur, du
plaisir. Ils expliquent que le cerveau
secrète des hormones comme les endorphines pour le plaisir, l'adrénaline pour
la peur ou le stress. Ils nous
expliquent que le cerveau s'est complexifié depuis l'aube des temps.
Mais a-t-on vraiment pu découvrir et isoler dans le cerveau,
le beau, la peur, le plaisir, l'amour ? Non certes. Les neuromédiateurs chimiques secrétés par le
cerveau ne sont que la résultante physiologique de cette interaction. Ces sentiments proviennent d'un autre
univers, mais la science n'a pas d'instruments pour les mesurer, elle considère
alors qu'ils n'existent pas.
L'homme solitaire enfermé dans les murs des apparences,
constitués par ses cinq sens et sa rationalité, envisage la vie comme un
phénomène dû au hasard, cherchant à la maîtriser et à la comprendre en analysant
ses lois. Il faut aussi beaucoup
d'orgueil pour arriver à vivre avec le néant, l'égo devient monstrueux.
D'autres se réfugient en vivant des fraternités collectives
exaltantes au travers d'idéologies ou d'intégrismes religieux, en troquant leur
propre conscience pour une conscience collective qui pourvoit à tout et devient
naturellement et brutalement totalitaire.
Et pourtant quelles que soient les horreurs et les tragédies
de notre histoire personnelle ou collective, quelque part au-delà de notre désespoir,
de nos défaites et de nos doutes, demeure en nous-mêmes un immense gisement
fait de beauté d'amour et de bonheur qui survit dans les tempêtes.
Mêlée aux entrelacs de
nos fatalités, cette source imprègne notre destinée jusqu'à la texture
même cellulaire de notre corps. La vie tenace est prête à reprendre son droit à
vivre, à recréer le monde du bonheur.
Inlassablement sur ces terres du malheur, jaillit toujours
cette petit fleur. La naissance des
premiers matins du monde peut éclore en nous à chaque instant et répandre sa
lumière éblouissante et vivifiante. Nous
sommes nés avec.
samedi 4 janvier 2014
Extraits du livre de Jacques Collin "L'Eau-delà de l'eau" INTRODUCTION
AVERTISSEMENT
Jamais l'humanité n'a autant eu la possibilité de
s'accomplir ou de se perdre. Le
foisonnement de la pensée humaine disperse celle-ci dans un lacis d'idées,
d'idéologies religieuses ou athées, de recherches physiques ou métaphysiques
dans lequel finalement tous repères et toutes certitudes se brouillent et
s'évanouissent, nous laissant seul le goût amer de la confusion et du doute.
Il y a certainement quelque part un fil rouge enfoui dans la
texture de l'univers qui doit nous permettre de remonter le cours de notre
destin, éclairer nos incertitudes et donner un sens au temps de notre vie.
Peut-être ce fil rouge nous mènera-t-il enfin vers les
mondes éblouissants et invisibles des forces de l'Esprit, vers la matrice
originelle de notre identité spirituelle dont est issue notre vie
incarnée. Nous retrouverons, alors, un
principe vital inscrit dans les fondements de la Création.
Maintenant la question est :
Comment finalement vivre une autre
vie après sa vie ? Est-ce une autre réalité ?
Pouvons-nous déjà la vivre
simultanément avec celle de notre vie
physique ?
Existerait-il des portes de communication ?
PROLOGUE AU BONHEUR
Tout le monde est à la quête du bonheur de la plénitude et du
plaisir.
Beaucoup
s'épuisent, souffrent, se détruisent dans la maladie, la toxicomanie et la mort
par désespoir de ne pas l'avoir trouvé.
D'autres se
contentent d'attendre ou de vivre des médiocrités de peur de perdre le petit
bonheur précaire acquis après bien des compromissions, à la limite de la
lâcheté. Finalement, ils s'étiolent dans la tristesse, vers une mort glacée et
solitaire.
Enfin
d'autres agissent dans les dimensions du pouvoir ou de l'argent, étendent leur
puissance, imposent leur bonheur en trompe-l'oeil, dévastent le territoire
intérieur de l'homme, abusent par des leurres idéologiques, politiques ou
religieux, des multitudes enchaînant chacun dans de vaines attentes et des
espérances aux finalités lointaines et incertaines. Ils entraînent finalement eux-mêmes ainsi que
tout le monde dans le chaos, la désespérance, la désolation et la solitude.
Mais le bonheur ne se met pas en cage, il est fluide, il
s'infiltre là où sont les forces de vie.
Il imprègne le dynamisme de la Vie, cette force de rencontre et d'Amour
qui anime toute particule, tout atome, tout être, tout fragment qui se cherche
afin que vous le monde puissent être.
Un Sage a dit : "il n'y a pas de chemin qui mène vers
le bonheur, LE CHEMIN EST LE BONHEUR", donc le bonheur n'est pas une
destination mais une trajectoire, un principe de force et de vitalité forgeant
votre vie quotidienne créé par votre futur.
La musique de l'univers est harmonieuse, mais nous ne savons
plus lire la partition pour la jouer. La
création a été imprégnée par une prodigieuse et éblouissante lumière de
l'essence du bonheur. Le monde n'a
aucune raison de vivre dans la souffrance.
Et pourtant, quelque part, dans cet univers, il y a eu, insensiblement
une déviance, une dissonance est apparue, propageant alors progressivement une
disharmonie. L'Homme ou l'Entité humaine
y ont-ils participé ? En sont-ils même l'unique cause ? En tout cas, l'homme
auteur et acteur de son propre scénario a joué devant lui-même les scènes de sa
propre tragédie. Il a voué aux gémonies
(accablé de mépris) le monde cruel qu'il a crée, rejetant le malheur sur la
fatalité d'un destin, qu'il a pourtant façonné inconsciemment par se propres
violences, ses haines rejetées dans les temps futurs, enchaînant ainsi les
générations à venir dans les fatalités et les malheurs qu'ils ont créés.
"Comment vous, hommes d'une telle richesse avez-vous pu
vous mettre dans un tel état de pauvreté et d'ignorance?" disait Jésus à
la foule il y a 2000 ans (Evangile de Thomas).
Ainsi pétris de nos croyances accumulées par notre histoire
et gravées dans notre chair, notre vision du monde se fige et se statufie. Nos
préjugés et nos jugements ont pouvoir sur notre forme de vie. NOUS VIVONS AVEC DES PENSEES PASSEES NON
ADAPTEES AU PRESENT, source de rupture, de souffrances et d'incompréhensions. Nous figeons le fil de cette vie créant ainsi
les désordres de l'âme, la fatalité et la déchéance physique.
C'est l'émotion humaine qui transcende les dimensions de
l'âme dans la nuit de notre incarnation et a pouvoir de création sur notre vie,
parfois pour le meilleur, mais souvent pour le pire.
Nos peurs, nos doutes et nos violences ont aussi pouvoir de
créations et d'événements dans notre monde physique, affectif et notre ligne de
vie. Dans ce monde, la raison et
l'intelligence ne servent à rien si l'intuition et le ressenti ne les précèdent
pas. Ce sont eux qui nous rendent
l'appartenance de notre destin et de son futur.
Il faut admettre que la planète et l'humanité sont
malades. Mais d'autre part, il y a aussi
un éveil de la Conscience dont vraiment peu de personnes saisissent maintenant
l'irrésistible déferlement.
L'homme est en train de se repositionner dans le monde
cosmique qui l'a enfanté. Cette
révélation le réintègre dans sa dimension première. Celle-ci scelle définitivement les
retrouvailles avec sa puissance Créatrice, l'Amour et le Bonheur, seule force
éternelle de la Création.
Si nous n'investissons pas dans ces valeurs dans les
profondeurs de notre être, nous sommes contraints de subir la fatale et totale
pression de notre matérialité coupée de sa transcendance.
Il faut oser ôter toutes les idées préconçues édifiées par
des millénaires d'histoire. Il faut
abattre nos murs intérieurs et extérieurs, laisser couler l'intelligence de la
vie.
vendredi 3 janvier 2014
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